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Le CERCLE de Frédéric BEIGBEDER et son QG (Cinéma, Festival de Cannes, tous les Festivals de cinéma dès le 4 septembre 2009.

Photo de QG-Le-Cercle

QG-Le-Cercle

Description :

"Il n'est pas de plaisir plus doux que de surprendre un homme en lui donnant plus qu'il n'espère." Charles Baudelaire

Hello à tous !

Le 12 août 2009, toute l'actualité littéraire de Beigbeder, d' "un roman français", son nouveau roman, à ses chroniques mensuelles de Lire et de Femmes et l'entretien mensuel de GQ, sa bibliothèque idéale, ses musiques, ses lieux cultes, ses adresses, ses lectures, son astrologie, la playlist du roman se trouvent désormais sur le site Officiel du Nouveau Roman de Frédéric Beigbeder de l'Académie des Lettres Pyrénéennes. www.frederic-beigbeder.org

A PARTIR DE SEPTEMBRE 2009, l'émission Le Cercle de Canal Plus Cinéma, sera toujours présentée le vendredi soir à 22.20 et rediffusée cinq fois à partir du dimanche aux alentours de 20.00. Je tenterais, à la rentrée 2009, de faire une synthèse de duex ou trois films dont les chroniqueurs du Cercle auront parlé.
Les émissions littéraires du Cercle devraient aussi être reconduites au moins 4 fois par an.

Le Quartier Général du Cercle, à la Rentrée, se concentrera uniquement sur Le Cercle et deviendra le Quartier Général de tout le cinéma. Je vous parlerais des Festivals de cinéma de Cannes, de Venise, de Berlin, de Deauville, de Tunis, entre autres.

A bientot ou ici ou ailleurs,

LaurEnCerClée-
L'I-Lettrée, mon nom LittérArtiste !.

www.myspace.com/fredericbeigbeder
www.beigbeder.net, le SNOB, le Site Non Officiel de Frédéric (tenu par François L.)
www.facebook.com/laurencebiava
www.myspace.com/laurencebiava et
http://www.canalplus.fr/c-cinema-en-salles/pid1951-c-le-cercle.html?

Précision : tout commentaire visant à insulter ou à porter atteinte quelle qu'en soit la forme, à la personne de Frédéric Beigbeder sera systématiquement refusé. Ce blog souscrit à toutes les opinions, d'où qu'elles viennent. Mais il ne prendra jamais en compte tout verbe discriminant ou carrément raciste.
Merci de votre compréhension.

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PARENTHESE LITTERAIRE - DEUX COMMENTAIRES

DEUX COMMENTAIRES POSTES CHEZ FREDERIC


Deux commentaires postés chez Frédéric ont été coupés dans leur longueur, dommage. L'un parlait de sa présence spontanée au Salon du Livre, l'autre de la crise économique.
Les voici dans leur totalité
:|

CRISE ECONOMIQUE

Tant à dire. Tant à dire sur tous tes papiers, qui évoquent très souvent la crise économique. Tant à dire parce que c'est passionnant. On dirait des catharsis. C'est la façon dont tu corrobores et dont tu analyses qui est attrayante. J'ai particulièrement aimé ton empathie naturelle à l'égard des jeunes américains dans le Voici de la semaine précédente. C'est un exemple. Mais je sens poindre tes craintes à tous les niveaux. (et que tu sois évidemment touché par le fait que la crise touche de plein fouet l'entreprise de ton frère, comme je le pressens, ne suffit pas à expliquer cette focalisation sur le sujet : j'en parle librement puisque tu l'as toi-même cité, « Charles », dans une de tes chroniques). Sur la fin de nos utopies, sur le sentiment de jeunesse perdue, sur la nostalgie du passé, sur la préservation ou la conquête totale de la Beauté, sur la peur de la disparition du sentiment amoureux. Au sujet de ton identité. Sur ta peur de l'avenir. Sur la fin des Paradis perdus (le défilé de mode : c'est comme ça que je l'ai ressenti), je sens un écrivain intarissable, toujours en perpétuel éveil. Mais très inquiet. C'est un peu comme si, avec un semblant de saturation, et d'autoflagellation, (rejoindre le NPA n'est pas une provocation mais une forme de nouvelle autoflagellation : faisons court : vais-je parvenir à cesser de me comporter en privilégié ?) tu évoquais en quoi, vue sous tous ses angles, cette société est en profonde mutation. Ce qui m'interpelle, ce n'est pas tant ta démarche propre d'écrivain guidée perpétuellement par la traduction de son observation du monde, et aussi par l'Affectif, avec l'accent snob qui, parfois, pointe le bout de son nez, au détour d'une phrase, non, c'est le changement de ta fameuse photo à ce moment particulier, à cet âge précisément charnière, entre le passé et l'avenir, entre le temps où j'ai vécu, et celui qui me reste à vivre, entre ce pourquoi j'étais tellement fait et ce futur numérique qui fait de moi un inadapté. Au Ritz, l'assistante de A.N m'a dit : « Je pense que c'est un homme qui a peur de sa grande intelligence ». J'ai répondu que non, en précisant : « j'attends son nouveau roman avec impatience afin de lire, voir, comprendre comment il est parvenu à mettre un terme au partage des rôles (s'entend et avec lui-même et avec son frère aîné) ». Le lendemain, paraissait ton ambitieux entretien sur Rocard, dont le contenu me donne un peu raison par rapport à mon échange de la veille. Au fil de ma lecture, je pensais : « il supplante tous ses rivaux », « c'est un échange entre deux visionnaires » et « il n'est pas plus devenu vieux à 43 ans qu'il n'était fou à 40 ans. Il se fiche de moi. Il est équilibré en sachant faire la part des choses.» Je ne nourris pas les mêmes peurs, Frédéric à l'égard du futur difficile qui nous attend, mais plus que jamais, je suis solidaire de toi. Et à défaut de « Restez sexy », en toute circonstance, - y compris sur les décombres -, je propose avant tout de « Restez groupés ». Il est là, notre Acte de Résistance. bisous. :|

SALON DU LIVRE

Le 16 mars, au salon du Livre. A une heure où je ne t'attendais pas, où je ne te guettais même pas. Il était aux alentours de 16h40. J'étais assise avec des étudiants, adossée à l'une des cloisons du stand de Radio France. Tu es passé dans le long couloir moquetté rouge longeant la sortie. Tu marchais d'un pas alerte et cadencé sur un bon rythme. Tu as emprunté la sortie principale. Dehors, tu t'es dirigé vers la gauche.Tu étais habillé tout en noir et ta svelte allure élégante ne ressemblait à aucune autre. Je reconnaitrais ta silhouette entre 10000 si une manifestation, qu'elle qu'elle soit, m'en laissait l'occasion. Des gens se sont retournés sur tes pas. Mais le temps où je t'ai observé, personne ne t'a abordé. En tout cas, rien ne m'a laissé pensé que tu avais scillé. Je te suivais depuis quelques minutes maintenant quand je pris la décision intime de ne manifester ma présence sous aucun prétexte. Tu tenais une poche en plastique dans ta main gauche. Tu t'es légèrement tourné vers la droite et tu as salué du même coté et avec aplomb, dans un geste plein et enveloppé deux personnes dans un véhicule noir. Ton corps s' est légèrement penché en avant pour y reconnaître quelqu'un à l'intérieur. Je me trouvais maintenant à une dizaine de mètres de toi. Je marchais de plus en plus vite pour ne rien perdre de cette opportunité bénie que ce heureux hasard ( ?) m'offrait. Tu as dépassé un grand portail blanc dont les grilles très largement ouvertes sortie T m'ont laissé entrevoir une aire de stationnement. C'est l'endroit d'où je griffonne ces notes, une semaine plus tard, à la même heure. Il est encore 16h40. Nous avons échoués ici il y a 8 jours, seuls au monde, à l'endroit de ton deux roues. Il y a 8 jours, je me trouvais à une distance très rapprochée de ta personne, mais à 16h46, j'avais pris soin de légèrement me décaler pour que tu ne me vois pas. Il m'a semblé que le temps s'accélérait au fur et à mesure que tes gestes extrêmement précis, rodés, s'additionnaient. J' étais comme la gosse qui s'apprête à faire une bêtise, énamourée, gênée aux entournures, étouffant nerveusement un éclat de rire.. J'ai songé à ce que j'allais faire si tu te retournais subrepticement. Mais tu ne m'as pas vu. En un éclair, j'ai analysé la situation saugrenue dans laquelle je me trouvais : «tu te rends compte, toi la moraliste, tu vois comment tu te comportes, comme une paparazzi, hein, tu te rends compte ? » et puis j'ai souri. Comme maintenant. Car il ne s'agissait pas de te pister. Juste te raconter l'observation jubilatoire de cette séquence inédite. Te contempler dans ce moment parfait : un homme dans sa réalité, tout simplement. Libre, distingué, marchant au gré de ses humeurs, de son intuition, l'esprit occupé, certainement. J'ai eu l'envie de glisser dans ton mystère, en tressaillant silencieusement à chacun de tes gestes définitifs, ordrés logiquement. Tu as mis ton casque, tu as enfourché ton deux roues, j'ai entendu vrombir le scooter. Je suis passée derrière ton véhicule pour rejoindre le trottoir d'en face. Chance inouie : le feu est resté un certain temps au rouge. Je t'ai longuement et précieusement regardé. Et puis, ton véhicule est parti en trombe vers la droite. Je t'ai suivi du regard quelques secondes pour te perdre rapidement de vue. J'ai alors baissé la tête, emmurée dans ma résistance, tendue comme un arc, très légèrement égarée, mais sans regretter ma posture invisible. Résultat de la course -à pied - : il est possible de vivre au contact des autres en les ménageant car les ménager les rend plus forts. En choisissant de respecter, coûte que coûte, leur liberté de mouvement, fondamentale, sans les soustraire à des obligations de résultat. Il est possible, à condition qu'on l'aime, de cotoyer quelqu'un en se foutant de son apparence. Il est conseillé de se contenter de la beauté des instants présents, aussi fugaces qu'intenses, quels que soient les motivations qui les suggère. J'ai aimé ce moment parfait où je pouvais t'admirer sans mot dire, où je t'ai « photographié » pour moi seule, où j'eus le sentiment de profiter égoistement de ta REALITE. $)
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#Posté le mercredi 25 mars 2009 03:27

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Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.80.123.20) si quelqu'un porte plainte.

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QG-Le-Cercle, Posté le lundi 30 mars 2009 10:32

merci à toi


Alyona596, Posté le lundi 30 mars 2009 09:16

Lo!
C'est parfait!
Notamment "SALON DU LIVRE"!!
Merci!!
A.


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